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Victor Wainwright & The Train (US)
Blues, Soul, Boogie Woogie
GC De Wildeman Herent
(16-10-2019)
reporter & photo credits: Paul Jehasse


info organisatie: De Wildeman
info artist: Victor Wainwright

© Rootsville 2019


Victor Wainwright (États-Unis) est nominé pour le GRAMMY 2019 (Contemporary Blues Album) et six fois vainqueur du BLUES MUSIC AWARD, quatre fois lauréat du BMA Piano Award. Gagnant du prix de l'artiste de l'année et du groupe de l'année ! Il vend toutes les places de concerts au Canada et en Amérique. Victor Wainwright est au top de son jeu! Victor Wainwright & The Train joue un mélange de différents styles en direct (BoogieWoogie, Rhythm 'n Blues, Blues and Soul).

Personnellement je l’ai rencontré sur la croisière du Blues #27 en 2016 avec mon ami Johan, dans les îles des Bahamas et curieusement s’était mon voisin de cabine juste en face de la mienne. J’ouvre la porte et lui la sienne (premier regard, premier sourire et en avant pour 5 jours de folie musicale sur le bateau)

Ici à la salle "GC de Wildeman" le groupe fait son apparition avec tout d’abord Pat Harrington à la guitare, Terrence Grayson à la basse et Billy Dean de Daytona Beach à la batterie, pour nous jouer un morceau d’intro. Puis Victor fait son apparition et joue « Dull Your Shine » de son nouveau cd « Victor Wainright and the train ». Il nous fait alors son hommage à BB King en nous expliquant que devant 25 mile personnes qui le regardent, nous, nous ne retenons que sa guitare, qui s’appelle « Lucille ». Donc ici nous avons droit à « Thank You Lucille » également sur le dernier cd. Ensuite nous sommes en pleine « Boogie Depression ».

Un moment très poignant est son hommage à Freddie King qu’il a vu en représentation sur Beale Street à Memphis, ici donc c’est « Same Old Blues » qu’il performe de façon magistrale et terriblement vraie comme une cantatrice son récital, lui il est criant de vérité en chantant cela avec une ferveur fantastique « a real blues man » avec et sans micro, Whaw !!!

A la slide avec Pat qui nous gratifie d’un solo de folie, nous entendons « Sunshine » où Victor est déchaîné et s’acharne sur les touches les plus aiguës et ce à répétition. Après un autre morceau dément où les notes les plus graves sont répétées de nombreuses fois avec, derrière les staccatos d’accompagnement à la batterie de Billy.

Il terminera avec un rappel furieux de R’N’R de Jerry Lee Lewis.

Mais je n’en révèle pas trop, car Dimanche 20/10, dans trois jours donc, ils seront de nouveau à l’affiche de Vlierden (NL) chez les Frère Brouwers, où nous vous conterons sa nouvelle histoire.